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L'ETRE BON.
17/11/2010 14:02
Vois-tu cette mouvance sur le sable brûlant?
À la croisée de tes chemins figure ton destin... Ce mirage n'est peut-être que vent corindon, qui tel un cinglant, mais banal tourbillon de l'espace-temps, et bien moins que le souffle chaleureux d'une poétesse chamane, se complait trublion, à brouiller sur une carte imaginée, d’insondables horizons qui se créent leurs miracles enchantés pour servir la très glorieuse jubilation d'un dieu sorcier engagé dans une transe transcendantale...
Les Hommes Sages
De ceux dont je parle, s'il ne reste que propos,
Et que leurs ossements sont tombés en poussière;
Il est qu’à notre temps s’écrivent encore les mots
Par une Femme d'école légendaire...
Car si le cœur s’irise philosophique:
Métaphysique élaboration de par lui,
L’être bon reconduit l’ami sympathique
En lui offrant des paroles étoilées de nuit.
Plutôt que d’ordalies fort moyenâgeuses,
S’il est de fuir un monde éphémère passager: Toute chose visible et non vertueuse,
N’est que vent qui court à sa fin sans présager.
Le Magistère Suprême regarde la terre
Mais il n’y voit trop clair que légats de Satan...
Ô sages et vénérables preux: pourquoi la guerre?
Ces royaumes combattants, édifiés décadents!
N’est-il force en l’ascétisme spirituel
Qui puisse en perfectionnement rendre raison?
N’est-il donc rien contre l’anathème éternel?
Le sombre ne se peut connaître s’il enlève
Emportant sur le vent les nuées d’horizon.
Le supérieur a l’apparence du sot qui rêve
Il n’est que plénitude intérieure de chiffon
Âmes pures, la rustique existence est innée.
Si l’idiosyncrasie d'homme est l'égoïsme,
L'autre sage fuira l'honneur d’un monde bourbier
Pour le sien métaphorique en gongorisme.
(RLD)
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ONTOLOGIE FEMININE...
17/11/2010 13:59
C'est un lac immense
Oasis à l’infini
Le ciel sombre en l’eau
Visionnaire inclinaison
Insondable liaison
Presque nu lotus
Par éclosion: une femme
Homéostatique
Comme un rêve qui voilé
Crée l’entité désirée
Juste ontologie
En la souillure d’un monde
Intact au dessous
De l'obscurantisme ouvert
Dans un paradis bleu vert
Voici l'enchanteresse
Fille de Poséidon
Maîtresse en saison
Cœur Renouée Amphibie
Naufragée d’un monde impie
Napée nénuphars
Sur Lie Fleur épanouie
Promise ô si belle
Tes sentiments naturels
Font l’amour sempiternel
(RLD)
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La Dame bleue?
17/11/2010 13:52
Hé vous! La flamboyante poétesse, qui marchez rêveuse le regard porté haut vers les cimes verdoyantes de la forêt joyeusement animée d'éclats merveilleux, si généreusement offerts par le soleil complice, qui joue à saute nues jusque par-dessus les toits de tuiles vernissées du grand manoir, alors qu’assurant vos pieds mignons, la nature et la mousse se sont unies pour dérouler sur votre chemin, un tapis de douce précaution, savez-vous que la clarté si confidente dans le sous bois, voit briller comme au bout d'un tunnel, la surface sans ride d'une étendue aquatique au calme si étrange et sombre qu'elle pourraient bien aussi se révéler aussi troublante en gardienne qui serait garante protectrice d'un lieu invisible à d'autres que vous; et puis sauriez-vous encore, pourquoi vos pas vous conduisent aussi en cet endroit chaque nuit? Non, vous l’ignorez? Cependant, s'il se fait que vous êtes ici, il se pourrait que peut-être alors, votre esprit ou bien celui d'un autre aussi bienveillant vous y conduise…
Où vas-tu donc, admirable statue de jaspe Aux longs cheveux coulants d'or feu filé d'aspe: Quand mes paupières aux souffrantes larmes moroses, N'abreuvent que fontaine pour des soudes roses?
Belle tu sembles évadée d'une nuit ancestrale: Beauté lotus, centaurée pastorale, vestale! Vierge florale drapée par des brumes mauves, Que tisserait un dieu soleil pour des nues fauves.
Rationnellement exquise ô rousse promesse, Dans ma celtique forêt, serais-tu princesse? Descendante de la Dame Bleue De Sénart... Ou bien étrange transmutation des Beaux Arts?
(RHD)
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Sommes-nous bons Apôtres?
17/11/2010 13:44
La genèse pensée de poète: c'est la cosmogonie issue d'une Grande Matrice,
Le pacte sous seing supra normal de l'Ombre froide et de la Lumière chaude:
L'Esprit s'est divisé pour la création des "Dix Mille Êtres" dont nous sommes.
… Car l'Homme est pour lui le ciment de tout ce qui sera encore obtenu…
¤¤¤¤¤
Au commencement absolu c'est l'invisible
Aucun nom, aucune chose qui soit sensible
Lorsque s'est dévoilé le vide sans norme:
Le rideau s'est ouvert sur l’entité sans forme
Le Monothéisme est-il né de l'abstrait?...
L’indiscernable est dans l’indicible lumière:
Béni soit celui qui crée le Ciel et la Terre!
Divinité: vient-il du val de Lao Tseu?
Est-il la vie, le yin, le yang, l’eau et le feu?
Vient-il de la Première Convergence?...
L'Esprit qui boit à la source de l’univers,
Contribue au développement embryonnaire;
Puisqu'il est venu d’un point noir du néant:
Féconder Gaïa quand fut l'astre exubérant!
RLD
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LE GRAND ESCALIER (vue d'artiste)
03/11/2010 12:55
le grand escalier
La métaphysique du philosophe né Fait principe commun pour l’être qui le sait Mais l’homme yang serait un élément contraire Symbolisme du désir qui brûle la terre.
L’obscurantisme est dans l’œuf non encore éclos L’enfançon qui ne parle est dieu en ciel falot Si l’art de vivre connaît des joies négatives L’homme sans apprêts est duplicité active.
Mais s’il contrôle ses égoïstes désirs Il pourra vivre bien sans soucis d’être pire Ainsi, dans sa quête de l’immortalité L'homme "prés du ciel" saura voir la vérité.
C'est par la restitution des énergies pures De l’enfance, et puis jusqu’à l’être qui perdure Qu’adulte il s’est rassasié durant mille ans Des choses de la terre et d’un monde ascendant.
Alors:
Empruntant le grand escalier qui mène à Dieu Par nuée il parviendra aux séjours des cieux.
RHD/RHD
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Rêves métaphoriques
12/10/2009 06:47
On ne doit pas briser un rêve Même s’il nous parait un peu fou Quand au matin la nuit s’achève Le jour arrive en rendez-vous…
Quand un sourire nous fait image Demain sera un jour nouveau Quand notre nuit tourne la page La vie nous fait un beau cadeau
On ne doit pas briser la trêve Quitte à s’endormir à nouveau Et repartir, trouver la sève Qui fait pousser cet arbre beau
Une île existe hors de la mer Dans un pays d’on ne sait où Quand la pensée est trop amère Il faut créer des rendez-vous.
Surtout ne brises pas ton rêve Même si le monde s’en contrefout Quand le tableau tu parachèves C’est grand bonheur… Un point c‘est tout…
Robert Le DU
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Extrait de mon roman en cours: Les Dames de la Forêt Ardenaise
22/09/2009 07:36
L’Œuvre Génésiaque
Au début...La légende raconte l’assaut des Esprits: c'est la divine perfidie des ténèbres qui voulaient conquérir la lumière supra cosmique... Alors quand ces royaumes opposés se mêlèrent, dans le chaos d’un tourbillon de substances : le «Bien», à force de dissémination de ses germes Eucharistiques et de ces transsubstantiations qui consommèrent le mal en ses croyances, fit à l'image de sa lumière, l’homme et sa transmutation. Pourtant, même si la pensée profonde éclaire à présent bien des noirceurs, les ténèbres continuent de châtier pour mieux diviser en deux l‘humanité. En se mêlant à eux la lumière fait certes douceur, mais cependant bien des choses tentées s'avèrent être encore de nos jours si souvent des œuvres si catastrophiques que les dieux eux mêmes en sont parfois bien déroutés. Au fil des siècles, par le sacré et le charisme de prophètes sur la terre, le conflit s’équilibre autant par bien que par mal, et tant que la vie et la matière sauront s’allier ont pourra croire à quelque entité humaine idéalement réalisable… Hélas des majorités néfastes songeront toujours à s’affilier à de sombres partis, et dès lors que la chose à laquelle on croyait parfaitement s'avère pleine mais rongée d'imperfections, l'image d'Ève et de la pomme n’est plus de divine croyance pour la créative invocation. Cependant, même si l’homme est issu de la poussière, son esprit est probablement fait de lumière au même titre que celui des dieux qu’il vénère. Alors qui donc dans l’univers peut prétendre à la déité? Et puis, si la mort détruisait à jamais, cela servirait-il encore quelque présumé anathème? En tout cas, ce qui est de la planète Hydro, fait que le processus de l’esprit y sert d’élévation suprême, et le poète Lucien l'interprète ainsi:
En s’appuyant sur des théogonies ancestrales que volontairement Lucien mêle en poète, il fait pour moi de Gaïa, l'aïeule génitrice de mon héros Gabryel: elle est donc par ce raisonnement, la mère de toute chose obtenue d’abord par hermaphrodisme et puis ce serait de son union avec qui elle créa d'abord et que je nommerai Ouryanos l'entité mâle, qu‘elle aurait fécondé d‘elle-même dans la profonde chaleur de son océan amniotique, afin qu’à féconder ensuite autrement et donner alors la vie aux «Dix Mille Êtres » et puis la pensée cognitive fut acquise à des précurseurs de l‘humanité qui s‘en suivirent…
Le Père de Gabryel se nomme Junyather, fils de Chronaxil., lui-même fils de Gaïa (la terre) et d’Ouryanos. D’aucuns diront sans doute que tout cela n’est que présomptions d’auteur, et même penseront avec juste raison à quelque abus gourmand d'une certaine idée des mythologies qui serait propre à l'imagination de mystères plus ou moins tirés de certaines philosophies mais bien dans la «vision» du poète que je suis, et qui a tout de même besoin d’une assise qui fut admise autrefois pour installer son histoire d'aujourd'hui... La voici donc ainsi qu’il en résultat d’un rêve que je fis enfant, alors que voyant réellement et survolant virtuellement les ruines de France, j'étais déjà rongé par cette horreur que je perçut avant et après ma naissance, et que j’éprouvais déjà le besoin de m’évader comme un certain Arthur pour vivre dans des ailleurs inaccessibles aux adultes raisons... Mais… Oublions mon humble personne, et revenons en plutôt à Gabryel, ce "jeune" dieu tout rayonnant de sa propre lumière, celle des justes, et pour qui la mission sacrée sera de faire union avec une douce mortelle afin d’œuvrer avec elle pour maintenir l’équilibre des «choses» sur une Terre qui aujourd'hui, il faut bien l'admettre en a grand besoin, et voici d'ailleurs à propos ce qu'en dit sa promise, la Flamboyante Poétesse Athénéïse:
«Ce qui est grand est suprême d’alternance»
Car les contraires accordent leur influence:
Ils font comme autant sont le ciel et la terre
Le chaud et le froid, jour ou nuit, été hiver …
La vision des hommes est principe de conduite
Qui permet en soi la doctrine susdite.
Dans l’idéal Confucianiste héréditaire
D’en jouer encore le rôle d’intermédiaire:
Voyez dans le livre sacré des mutations
Des traits métaphoriques en leur formulation,
Des figures sont issues des savants diagrammes
Que le sage voit et superpose en trigrammes…
l’être né dès la formation de l’univers
Subsiste jusqu’à dissolution de l’éther;
De celui-là, vit sans dépérir, ni vieillir
Il est solide car il converge sans faillir
Vers l’union qui s’offre par la femme fragile.
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Un Simple Village
24/07/2009 08:12
NOTRE VILLAGE (chanson) Paroles et musique de Robert Le DU (valse)
REFRAIN C'est un simple village Comme un berceau joli Il est à notre image Un jardin pour la vie Il es beau, il est sage Mon coeur en est épris Il est notre village Il est notre Pays
COUPLET I Au siècle trois apreés Il était autrefois Entre Meuse et forêt Peuple Gaulois En Pays Ardennais Quelques huttes de bois Nos ancêtres ils étaient De bon aloi
SOUS COUPLET I Dis moi l'histoire de mon village Dis moi son nom dis moi son âge Je ne sais pas pourquoi je vis Je ne sais pas...Pourquoi j'y suis
(Au refrain)
COUPLET II Disciple de Saint Sixte Memnius nous est venu Qui par les gens du site Fut entendu... Prédiquant Dieu d'espoir Menge y fut renommé Et par un Oratoire Fut vénéré
SOUS COUPLET II Dis moi l'histoire de mon village Dis moi son nom, dis moi son âge Je vois l'image à contre jour Je n'y vois pas...Vivre l'amour!
(Au refrain)
COUPLET III Sans amour pas de vie Pas de Maison Fleurie D'enfant dans un berceau De jour nouveau Ne pars pas au long cours Ne cherches pas d'amours Ton village c'est l'espoir Et ton miroir
SOUS COUPLET III Dis moi l'histoire de mon village Dis moi son nom, dis moi son âge Je suis trés fier de ma Maison De mon Pays... De ma Raison
REFRAIN FINAL C'est un simple village Comme un berceau joli Il est à notre image Un jardin pour la vie Il est beau, il est sage Mon coeur en est épris Il est notre village... Saint Menges: notre Pays
Si vous souhaitez entendre la chanson interprétée par l'auteur: cliquez sur le lien messages audio (lien situé en dessous du logo lion)
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Un Simple Village
24/07/2009 07:57
NOTRE VILLAGE (chanson) Paroles et musique de Robert Le DU (valse)
REFRAIN C'est un simple village Comme un berceau joli Il est à notre image Un jardin pour la vie Il es beau, il est sage Mon coeur en est épris Il est notre village Il est notre Pays
COUPLET I Au siècle trois apreés Il était autrefois Entre Meuse et forêt Peuple Gaulois En Pays Ardennais Quelques huttes de bois Nos ancêtres ils étaient De bon aloi
SOUS COUPLET I Dis moi l'histoire de mon village Dis moi son nom dis moi son âge Je ne sais pas pourquoi je vis Je ne sais pas...Pourquoi j'y suis
(Au refrain)
COUPLET II Disciple de Saint Sixte Memnius nous est venu Qui par les gens du site Fut entendu... Prédiquant Dieu d'espoir Menge y fut renommé Et par un Oratoire Fut vénéré
SOUS COUPLET II Dis moi l'histoire de mon village Dis moi son nom, dis moi son âge Je vois l'image à contre jour Je n'y vois pas...Vivre l'amour!
(Au refrain)
COUPLET III Sans amour pas de vie Pas de Maison Fleurie D'enfant dans un berceau De jour nouveau Ne pars pas au long cours Ne cherches pas d'amours Ton village c'est l'espoir Et ton miroir
SOUS COUPLET III Dis moi l'histoire de mon village Dis moi son nom, dis moi son âge Je suis trés fier de ma Maison De mon Pays... De ma Raison
REFRAIN FINAL C'est un simple village Comme un berceau joli Il est à notre image Un jardin pour la vie Il est beau, il est sage Mon coeur en est épris Il est notre village... Saint Menges: notre Pays
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LA TEUGGHIA
14/07/2009 12:22
Ce texte vous présente la Fausserolle, dont le corps est partagé en deux: un côté devient vieux et hideux, tandis que l'autre garde sa jeunesse et sa beauté initiales... Dans le monde des Fées, comme chacun qui écrit des contes le sait: la loi est tout autre que dans celui des humains. Et puis dans la Forêt tout est vivant. Alors si une Fée arrache ne serait-ce qu'une aile à une mouche, elle peut nuire au "Petit Peuple" et se voir rétrogradée Sorcière par la Reine des Fées ou par un dieu de la forêt.
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La Teugghia.
La Fée pêchant pour un mortel fit infamie; Révélant ses secrets dans sa fièvre d’un soir; Par l’ignominie sa Féerie est finie… D’ailleurs les dieux ont décidé de la déchoir: Elle serait péril au bienheureux domaine! Tandis que l’eau noire fait miroir de lune, La Fée Fausserolle en parure vilaine, Sort d’outre pierre pour cracher d’amertume. Moitié ruinée l’autre à l’allure sereine: Bouche tordue, peut-elle parler du bon côté? Quand le caractère corrompu fait seul tenant… Bannie de noble cour ton âme est divisée: Servira-t-elle un demi dieu ou bien Satan? La vouivre aux aguets boit son fiel jusqu’à la lie Pour toi de quel côté sonnera l’hallali?
Robert Le DU
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