Aux temps vides, il y eu un commencement,
Quand jaillit la lumière et l'esprit en dedans .
La terre était informe au sein des entités
Mais que faisaient nos dieux en leur éternité?
Il y eut dit-on, un soir, et puis un matin…
Des ténèbres sont venus les jours incertains;
Mais qu’ont-ils fait durant ces millions d’années
Avant ces heures qui ont précédé la Pangée…
L’homme et son grimoire sont nés du ciel en ce lieu
L’Histoire du livre de Moïse a créé Dieu:
Au début de la vie , des êtres différents.
Aucun humain vivant sur le seul continent.
Que le dieu créateur du sec appela terre,
Et qu’il nomma ainsi l'amas des eaux la mer.
Il se dit alors que tout cela était bon.
Alors pourquoi des premiers êtres l’extinction?
Le Maître peint sur la grand toile de l’univers
Mais pose ses étoiles en un monde à l’envers
L’Art sacré des dieux à bien des atermoiements
La courbe du pinceau fait l’accommodement.
Elle noircit la Pierre Blanche posée à La Mecque
Adam l’a portée… Les pêchés du monde avec!
Les dominants ne seraient pas, sans dominés
Les territoires des humbles sont délimités.
Il faut des chefs, des religieux, des religions:
Les Déesses mères ne font plus la promission;
Aïeules mythiques, Maîtresses légendaires,
Vous éclairiez la nuit pour des Celtes d’hier.
Vos lignées magiciennes, de Parturientes,
Émergences des croyances qui les hantent,
Génitrices de « La Montagne du Nombril
Du sanctuaire de Göbekli que font-ils?..
S’il se peut que l’esprit et la vie ne font qu’un,
Et qu’ils soient apparus sans raison des confins;
L’apprentissage de soi suppose en d’autres,
Un combat d’ego contre surmoi d’apôtre.
Les obsessions communautaires foisonnent,
Tandis que le Grand architecte raisonne.
Mais qu’en sera-t-il de qui n’a l’enseignement
S’il n’a l’humble prestance au dernier jugement.
Il fera sophisme à dessein devant le faux
Abjurant bien trop tard avec les mauvais mots
Jurera contre bonne foi qui la trompé
Implorant Dieu le vrai que l’Art aura sacré.
Robert Le DU